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Comment un éclairage approprié peut-il améliorer le bien-être ?

Smart Lighting - 20 d’experts en éclairage

Cebeo s’intéresse au marché de l’éclairage intelligent en pleine expansion

Début 2020, Cebeo a organisé une « table ronde » à son siège avec pour thème : l’éclairage intelligent. Deux autres réunions se tiendront également plus tard dans l’année. Une vingtaine d’experts en éclairage de Cebeo et d’ailleurs se sont réunis pour un débat.

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Xicato est la solution

Des LED qui font virer vos frites au vert ? Le phosphore corrigé à froid de Xicato est LA solution

Il y a 10 ans environ, Xicato a été le premier fabricant de LED à créer un effet de lumière naturelle avec ses LED. « Lorsque l’on achetait autrefois un luminaire au comptoir, quelle que soit sa marque, on recevait également une ampoule halogène offrant toujours la même lumière. Mais depuis l’avènement des LED, on ne sait plus quelle LED équipe l’appareil, ce qui donne lieu à une grande variété de couleurs et de qualités de lumière. L’installateur, et le client final en fin de compte, peut ainsi faire face à des problèmes. Des problèmes que nous voulons bien entendu éviter. »

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Signaler les voies d’évacuation

« Signaler les voies d’évacuation en fonction de la catastrophe »

L’éclairage de secours est l’un des secteurs de prédilection d’Eaton. Avec le Guideled DXC, un système flambant neuf de signalement adaptatif des voies d’évacuation, l’entreprise signe une innovation importante dans le domaine de l’éclairage de secours pour les grands bâtiments.

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L’imprimerie De Melle

« Un endroit très reposant pour travailler »

Impossible de ne pas le remarquer lorsque vous déambulez dans l’imprimerie De Melle : de la lumière, encore et toujours. De plus, ces derniers n’ont même plus besoin d’appuyer sur un bouton ou sur un interrupteur. « C’est le principal avantage d’Opple Smart Lighting », explique le client final Guy Daniëls. « L’armature s’adapte de manière autonome à la lumière du jour qui entre dans les bureaux. Nous ne remarquons même pas ces changements, c’est très reposant. Serait-ce possible de faire encore plus simple ? Je ne pense pas, non ! »

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Cebeo s’intéresse au marché de l’éclairage intelligent en pleine expansion 

 

Table ronde : Smart Lighting

Début 2020, Cebeo a organisé une « table ronde » à son siège avec pour thème : l’éclairage intelligent. Deux autres réunions se tiendront également plus tard dans l’année. Une vingtaine d’experts en éclairage de Cebeo et d’ailleurs se sont réunis pour un débat. Groen Licht Vlaanderen et la KU Leuven, entre autres, ont envoyé leurs représentants. An Moors, Head of Product Management chez Cebeo, modère les discussions. Cela illustre l’importance que Cebeo accorde au thème de l’éclairage qui connaît aujourd’hui une rapide évolution.

 

Commençons par dissiper un malentendu : l’éclairage intelligent et l’éclairage connecté sont deux concepts différents. Alors que l’adjectif « connecté » signifie qu’un appareil est connecté à Internet, « smart » y ajoute une dimension avec un contrôle plus efficace, intelligent, de la lumière, basé par exemple sur la présence ou l’absence de lumière naturelle.

 

HCL

Un thème fréquemment abordé en matière d’éclairage intelligent est le Human Centric Lighting (HCL). Le concept et les possibilités qu’il offre sont abordés de manière distincte plus loin dans ce dossier. « Malgré ces possibilités et les effets bénéfiques (sur le bien-être, le confort, la productivité...), la demande est plutôt faible aujourd’hui » estiment les spécialistes de Cebeo. « C’est pourquoi il est d’autant plus important pour un installateur de savoir où se trouve cette demande », nuancent-ils. « Les maisons de repos et certains bureaux d’entreprises actives dans le segment supérieur (Microsoft, banques...) notamment, sont les « early adopters ». Les personnes bien informées seront en mesure de facilement faire état de la valeur ajoutée à leur client. »

 

Le HCL a également démontré son intérêt dans d’autres secteurs. Le client Arcelor Mittal était même demandeur d’une installation HCL afin d’augmenter le bien-être des travailleurs sur le lieu de travail et, partant, la productivité. « Il est important de réaliser que le HCL est plus qu’un « tunable white », ou « éclairage dynamique » comme ce on appelait autrefois », indique-t-on chez Cebeo. « Le HCL n’est pas seulement un produit, mais l’application d’un appareil dans une pièce bien déterminée, associée par exemple à une commande via DALI. »

Graphique : growth of value of light to society

Et à Catherine Lootens de Groen Licht Vlaanderen (voir l’interview proposée plus loin dans ce dossier), d’ajouter : « Les acteurs tels que le conseiller en prévention jouent un rôle important dans l’application du HCL. Ils peuvent, ou plutôt, doivent aider l’installateur. Il faut comprendre qu’il s’agit d’une solution intégrale, et pas une simple une solution d’éclairage »

Relighting

L’importance d’un relighting bien pensé ne doit pas être sous-estimée. « Mais avec une technologie LED qui devient la norme, la part de l’éclairage perd considérablement du terrain au niveau du PEB. Grâce à la ledification, les marges deviennent beaucoup plus importantes. Le PEB ne doit dès lors pas être un frein au « confort » lorsqu’il est question d’applications d’éclairage. Les investissements (par exemple le HCL) doivent dès lors recentrer l’attention sur le confort et le bien-être plutôt que sur l’économie d’énergie. Et ce changement doit bien souvent être encore opéré. »

 

Norme qualitative

Outre les solutions et la technologie d’éclairage, la norme joue un rôle décisif dans la qualité de la lumière. Car même si l’on dispose de telles installations, l’absence d’une norme adaptée ouvrira la porte à toutes sortes de solutions et produits, des plus fiables aux plus médiocres. Grâce à ces normes et standards applicables, l’installateur, mais également son client, sont assurés d’une qualité certaine. Disons les choses clairement : la qualité de la norme détermine la qualité de la lumière.

Norme de construction WELL

La norme de construction WELL est une norme pour des bâtiments sains. « Les spécifications décrites en matière de lumière réunissent tout ce qu’il faut pour constituer une norme adéquate » peut-on entendre autour de la table. « Par rapport à la BREEAM actuelle, cette norme tient par exemple également compte de la lumière naturelle, en plus de la lumière artificielle. Les valeurs de réflexion sur les murs verticaux (> 70 %) et les plafonds ( > 80 %) sont également doublées avec cette norme. Aujourd’hui, la norme de construction WELL n’a pas encore été imposée. »

 

« DALI est un jeu d’enfant »

Dire que la technologie de l’éclairage évolue rapidement est un euphémisme. Mais c’est aussi pourquoi l’utilisation effective de ces nouveautés ne suit pas toujours ce même rythme. L’exemple suivant issu de la table ronde le démontre clairement. Jo Vinckier, qui occupait alors encore le poste de Project Officer Smart Lighting au sein du Light Lab de la KU Leuven (system engineer chez byNubian red depuis le mois de mars.) : « Un contrôle DALI (Digital Adressable Lighting Interface) est très facile à mettre en œuvre. Depuis l’avènement des LED, toute nouvelle installation d’éclairage devrait être contrôlée par défaut par un système DALI »

 

Passage de l’analogique au numérique

Gino Bruynooghe, conseiller externe en éclairage chez Cebeo conçoit cela différemment dans la pratique : « Le système DALI a été boudé par de nombreux installateurs. Il s’agit souvent d’entreprises d’installation plus modestes ou d’installateurs travaillant seuls. Nombreux sont ceux qui s’en tiennent au système 1-10V bien connu, alors que l’installation de variateurs DALI se révèle tout aussi facile. Nous le constatons dans les questions relatives aux projets. Nous recommandons aux installateurs de s’adresser pour ce faire à Cebeo, et de suivre une formation Campus afin de passer de l’analogique au numérique. La formation continue prend du temps, du temps dont ne dispose pas le professionnel occupé. Mais c’est une condition sine qua non pour générer du business supplémentaire, avec DALI, HCL... »

 

DiiA

DALI ne reste pas non plus les bras croisés, proposant entre-temps la version DALI-2 mise à jour . Henk Demaeght, Product Manager Building Automation chez Cebeo explique pourquoi une mise à jour était nécessaire : « L’un des problèmes avec l’« ancien » système DALI résidait dans l’incapacité des autres acteurs, tels que les capteurs ou les boutons-poussoirs, à réagir de manière appropriée, quelle que soit la compatibilité des sources lumineuses. Selon le nouveau protocole DALI-2, les acteurs sont d’abord « approuvés » par le DiiA, la Digital Illumination Interface Alliance, avant qu’ils ne reçoivent la qualification DALI-2. »

« Généralement, l’installateur est aussi le prescripteur. Un « problème » se pose si l’installateur n’est pas suffisamment familiarisé avec un système de commande. Inversement, lorsqu’un bureau d’études le prescrit, le système DALI est intégré dans le cahier des charges comme un choix sûr. Lorsque le projet se concrétise, ils peuvent encore opter pour d’autres systèmes selon les fabricants choisis. Un changement au niveau de la chaîne de valeur s’impose, afin que Cebeo devienne également prescripteur », indique Gino Bruynooghe.

 

La lumière en tant que service

Pour conclure, nous pouvons dire que la lumière mérite bien plus d’attention qu’elle n’en reçoit aujourd’hui. C’est en ce sens que la « Lumière en tant que service » fait son apparition. « La lumière évolue, et peut être adaptée à des situations changeantes, certainement dans les entreprises. À l’image d’un contrat de chauffage que vous concluez avec un fournisseur d’énergie, un contrat de service pour l’éclairage devrait être la norme. La circularité des luminaires, en prêtant attention à son mode de production, d’entreposage, de transport et de recyclage, va probablement gagner en importance. Il nous incombe de sensibiliser le client final à cette réalité, avec l’aide de l’installateur. »

 

 


 

Des LED qui font virer vos frites au vert ? Le phosphore corrigé à froid de Xicato est LA solution 

 

Rob Verbeelen, General Manager Luxendi

Il y a 10 ans environ, Xicato a été le premier fabricant de LED à créer un effet de lumière naturelle avec ses LED. Rob Verbeelen, General Manager chez Luxendi à l’origine de l’importation de Xicato, s’en souvient comme si c’était hier. « Lorsque l’on achetait autrefois un luminaire au comptoir, quelle que soit sa marque, on recevait également une ampoule halogène offrant toujours la même lumière. Mais depuis l’avènement des LED, on ne sait plus quelle LED équipe l’appareil, ce qui donne lieu à une grande variété de couleurs et de qualités de lumière. L’installateur, et le client final en fin de compte, peut ainsi faire face à des problèmes. Des problèmes que nous voulons bien entendu éviter. »

 

« La philosophie de base de Xicato est que chaque concepteur de luminaire doit toujours pouvoir bénéficier de la même lumière lorsqu’il achète une source lumineuse. Les fabricants belges tels que Delta Light, mais également ceux établis à l’étranger comme Orbit peuvent équiper leurs luminaires de LED de Xicato. »

Comme dans le cas d’une lampe fluorescente, les LED ont également besoin de phosphore pour transformer la lumière bleue en lumière visible. « Xicato a développé une source lumineuse qui reproduit la lumière naturelle. Les LED de Xicato ont un indice de rendu des couleurs (CRI/Ra) élevé qui leur permet d’afficher les couleurs, telles que le rouge des fraises, d’une pureté incroyable. Il convient d’y recourir dans les musées et les magasins qui proposent des produits de qualité, comme les boutiques, les bijoutiers, les magasins spécialisés ou les traiteurs. Une lumière de qualité renforce l’image professionnelle, et justifiant de ce fait la différence de prix »

 

« Une lumière de qualité renforce l’image professionnelle, et justifiant de ce fait la différence de prix. »

infrastructure de magasin

« Attention, chaque infrastructure (de magasin) ne recherche pas de luminaires haut de gamme », fait remarquer Rob Verbeelen, « et ce n’est pas qu’une question de budget. Les discounters veulent donner l’impression d’être bon marché, et l’éclairage haut de gamme n’est par ailleurs pas toujours recommandé. Dans ce cas, les produits peuvent donner l’impression d’être de moins bonne qualité et (donc) moins chers. »

 

Phosphore corrigé à froid

Quelle technologie se cache derrière la qualité d’éclairage qu’offrent les modules LED Xicato ? « La technologie de phosphore corrigé à froid nous permet de créer une lumière précise, uniforme, homogène et fiable, tant en termes de couleur que de flux lumineux. Le but ? Garantir un rendu des couleurs réaliste et apporter du confort à l’utilisateur. »

« Comme tout fabricant, nous utilisons les LED bleues comme base, que nous transformons ensuite en lumière blanche visible grâce à l’ajout de phosphore. Mais tant la LED bleue que le phosphore jaune ont chacune leurs propres tolérances. Par conséquent, si vous combinez les deux, vous obtenez toute une gamme de nuances de lumière blanche entre les modules LED. C’est pourtant ce que font les autres fabricants. Ils trient ensuite ces LED. »

 

Un éclairage homogène

« Chez Xicato, nous mesurons la longueur d’onde de la LED bleue et ajustons le phosphore individuellement en fonction de la longueur d’onde de la LED bleue. Nous connaissons ainsi avec certitude la température de la couleur et le CRI. C’est également la garantie que nous offrons. Nous parvenons ainsi à garantir une mesure de déviation de couleur standard (SDCM) de 1 pour 2 ellipses de MacAdam. Cela signifie que tous les produits, articles, familles et applications Xicato fournissent mutuellement la même couleur de lumière (homogénéité). »

« Alors qu’une certaine variabilité peut encore être tolérée dans le cas d’une lumière diffuse, celle-ci est inacceptable dans le cas d’une lumière directe - une rangée de spots orientés vers un mur dans un musée, par exemple). À partir de 3 ellipses de MacAdam, la tolérance courante de la plupart des fabricants, les différences sont beaucoup plus évidentes. Tous nos LED offrent également le même flux lumineux. »

« Une deuxième différence par rapport aux autres fabricants est que nous appliquons le phosphore sur une plaque de verre et non sur la LED bleue même. Les composants phosphorés sont maintenus en place par une sorte de silicone. Et c’est justement ce silicone qui se dégrade en premier sous l’effet de la chaleur. Lorsque cela se produit, votre LED commencera à briller en vert ou en rouge. Étant donné que nous appliquons le phosphore sur une plaque de verre, le phosphore reste beaucoup plus frais. D’où le phosphore corrigé « à froid ».  Nous garantissons ainsi la température de la couleur tout au long de la durée de vie. Les OEM (Delta Light, Orbit et autres fabricants de luminaires) ont également pour mission de développer une armature qui garantisse un refroidissement suffisant. »

 

Un éclairage homogène

les modules LED Xicato


« Étant donné que nous appliquons le phosphore sur une plaque de verre, le phosphore reste beaucoup plus frais.»

 

Des frites vertes

Auparavant, le propriétaire d’un restaurant devait remplacer ses ampoules halogènes tous les six mois parce qu’elles tombaient en panne. Dans pareil cas, l’éclairage reste allumé durant 4 000 heures. « À titre de comparaison, un ménage les remplacera au bout de 300 heures. Contrairement aux lampes halogènes, les LED ne « tombent pas en panne », elles se dégradent. Vous veillerez ainsi à éliminer de la liste les restaurants qui sont passés à la technologie LED, mais qui ont opté pour des LED bas de gamme du magasin de bricolage. Qu’est-ce que cela implique ? Un restaurateur qui ne remplace pas ses LED parce qu’elles « fonctionnent encore » servira dans les six mois du carpaccio brun et des frites vertes. Ces LED bas de gamme ne sont pas conçues pour fonctionner si longtemps, même si leur longue « durée de vie » suppose le contraire. »

Et à Rob Verbeelen de conclure : « Souvent, maintenir la quantité de lumens n’est pas le plus gros problème. La génération actuelle de LED peut brûler des dizaines de milliers d’heures avec une faible perte de luminosité au final. Ce qui est beaucoup plus problématique, c’est l’homogénéité de la couleur. Une LED qui ne refroidit pas suffisamment est, par définition, une LED qui se dégrade rapidement. Cette tâche incombe à la fois au fabricant du luminaire qu’à l’installateur qui doit prévoir une circulation d’air suffisante lors de l’installation. Grâce à la technologie du phosphore corrigé à froid d’une part, et à la mesure individuelle des longueurs d’onde de chaque LED sur lesquelles est accordé avec précision le phosphore d’autre part, Xicato vous garantit un départ sur les chapeaux de roues. »

 

 


 

« Signaler les voies d’évacuation en fonction de la catastrophe » 

 

Eric Depoorter, Accountmanager Eaton

Voilà bien longtemps qu’Eaton est connu comme fournisseur de solutions efficientes sur le plan énergétique, qui aident les clients à gérer leur énergie électrique, mécanique et hydraulique de manière rentable. L’entreprise cible différents marchés de niche. L’éclairage de secours est l’un des secteurs de prédilection d’Eaton. Avec le Guideled DXC, un système flambant neuf de signalement adaptatif des voies d’évacuation, l’entreprise signe une innovation importante dans le domaine de l’éclairage de secours pour les grands bâtiments. Voilà treize ans déjà qu’Eric Depoorter, Account manager, se consacre à l’éclairage de secours chez Eaton. Ces dernières années, il a été témoin de plusieurs tendances singulières au sein de ce marché de niche.

 

Un budget limité

« Nous constatons trop souvent encore que les gens ne réalisent l’importance d’un éclairage de secours qu’en cas de problème entraînant une défaillance de l’éclairage général. Dans pareil cas, vous ne voudrez pas vous retrouver complètement dans le noir et chercher à tâtons votre chemin dans un bâtiment. C’est précisément pour cette raison que l’éclairage de secours est installé sur un circuit séparé, distinct de l’éclairage général. De manière générale, le client final consacre environ 5 à 10 % de son budget éclairage à l’éclairage de sécurité. Il opte souvent pour les solutions les moins chères, bien qu’il soit essentiel de tenir compte du coût total de possession (CTP), dont les coûts de maintenance. »

 

Boîte à tartines éclairée

L’éclairage de secours a toujours été obligatoire dans les bâtiments tertiaires, bien qu’il ait connu une évolution majeure. « Il a tout d’abord évolué sur le plan esthétique : l’éclairage de secours s’est détaché de l’image de « boîte à tartines éclairée » grâce à l’émergence d’armatures discrètes et minimalistes. Cela représente un réel atout pour les architectes, jouant un rôle important dans la conception de centres culturels. Ensuite, les lampes fluorescentes utilisées par le passé ont progressivement cédé la place à des (armatures) LED. Lorsque les LED ont été introduites sur le marché, le prix de tels éclairages de secours était plus élevé, mais à mesure que les prix ont baissé, la part de marché des LED dans l’éclairage de secours a également augmenté de manière significative. »

Appareils d’éclairage de secours

 

« L’éclairage de secours s’est détaché de l’image de « boîte à tartines éclairée » grâce à l’émergence d’armatures discrètes et minimalistes.»

 

Analyse des risques

Le type d’éclairage de secours recommandé dépend en grande partie du bâtiment où celui-ci doit être installé. « Pour les plus petits complexes, par exemple, l’investissement dans des armatures d’autotest se justifie moins. La Régie des bâtiments l’exige de toute façon pour les grands bâtiments, comme les ministères. Cette fonction d’autotest est absolument essentielle, car elle vérifie automatiquement toutes les fonctions de l’armature, en commençant par l’état de la source lumineuse et des batteries. Le choix de l’éclairage de secours souhaité résulte toujours d’une analyse des risques menée par le bureau d’études en collaboration avec le maître d’ouvrage. »

 

Méthode d’évacuation innovante

L’éclairage de secours comporte deux aspects : l’éclairage de la voie d’évacuation même, mais également l’éclairage des pictogrammes qui les signalent. L’année passée, Eaton a présenté un tout nouveau système d’illumination pour ces pictogrammes à l’occasion de Cebeo Technology.

 

Voies d’évacuation dynamiques

« L’aspect innovant réside dans la nature adaptative de cette solution », poursuit Eric Depoorter. « En raison des armatures de pictogramme statiques installées aux quatre coins des bâtiments tertiaires, il y a un risque que les personnes à évacuer soient justement dirigées vers le danger (tel qu’un incendie) et ne puissent dès lors s’en éloigner. C’est justement pour éviter de telles catastrophes potentielles que nous optons pour une méthode dynamique qui recourt à la technologie numérique. Celle-ci offre la possibilité d’alterner facilement entre un certain nombre de voies d’évacuation prédéfinies (scénarios). »

Voies d’évacuation dynamiques

« C’est pour éviter de telles catastrophes potentielles que nous optons pour une méthode dynamique qui recourt à la technologie numérique. »

 

Le système se prête particulièrement aux utilisations au sein de grands bâtiments tertiaires, tels que les aéroports, les universités et les théâtres spécieux. « Une personne autorisée peut, en sélectionnant un scénario particulier, activer la voie d’évacuation la plus sûre et la plus rapide. En outre, nous pouvons également activer le système automatiquement en reliant un détecteur de fumée sur l’armature au moyen d’un contact libre de potentiel. En cas de détection de fumée, l’armature de pictogramme connectée affichera une croix rouge signalant aux personnes qu’elles ne peuvent emprunter cette voie. »

Contactez votre spécialiste en éclairage Cebeo pour une intégration harmonieuse de l’éclairage de secours dans votre plan d’éclairage. Vous souhaitez découvrir plus en détail les finesses du Guideled DXC de Eaton ? Dans ce cas, le fabricant propose également des formations. N’hésitez pas à consulter régulièrement notre offre Cebeo Campus pour des formations similaires en matière d’éclairage.

 


 

« Un endroit très reposant pour travailler » 

 

L’imprimerie De Melle à Turnhout propose des services d’impression de qualité à ses clients depuis plus de 50 ans. Pour une entreprise qui accorde énormément d’importance à la qualité, un éclairage de qualité est essentiel. Cebeo a pu se charger de l’éclairage de leur nouvelle construction avec Opple. Il était évidemment indispensable de prévoir une commande intelligente.

L’imprimerie De Melle à Turnhout

De Melle 1

De Melle 2

 

Impossible de ne pas le remarquer lorsque vous déambulez dans l’imprimerie De Melle : de la lumière, encore et toujours. Le client final Guy Daniëls a ressenti l’effet sur lui-même et sur ses travailleurs. De plus, ces derniers n’ont même plus besoin d’appuyer sur un bouton ou sur un interrupteur. « C’est le principal avantage d’Opple Smart Lighting », explique Guy Daniëls. « L’armature s’adapte de manière autonome à la lumière du jour qui entre dans les bureaux. Nous ne remarquons même pas ces changements, c’est très reposant. Serait-ce possible de faire encore plus simple ? Je ne pense pas, non ! »

« Serait-ce possible de faire encore plus simple ? Je ne pense pas, non ! »

L’installateur Erwin Van Hoeck était lui aussi ravi de travailler sur ce projet. « Tous les partenaires concernés ont participé à ce projet avec un système semblable à un livre ouvert. L’avantage est que vous pouvez appliquer des modifications de toutes les manières possibles pour toutes les techniques, du CVC à l’électricité. »

 

Système flexible

« En tant qu’installateur, le but est de pouvoir procéder facilement à des modifications et intervenir sur une installation. Pourquoi ce système fonctionne-t-il si bien ? Opple fonctionne par Bluetooth, via une communication facilement programmable. Vous ne dépendez donc pas de partenaires externes. »

 

Smart relais

« Par ailleurs, l’installation est abordable et possède de nombreuses possibilités d’extension. La configuration se fait en concertation avec l’utilisateur final. Utiliser un Smart Relais vous permet d’ajouter de nombreuses autres techniques au système. »

Tim Leyers, Accountmanager Opple

 

Tim Leyers est Account Manager chez Opple : « Notre système Smart Light est une solution intelligente et abordable pour faire des économies d’énergie. Nous sommes partis de ce raisonnement quand nous avons conçu le système. Nous voulions obtenir une installation simple et accessible pour l’installateur. »

 

« Utiliser un Smart Relais vous permet d’ajouter de nombreuses autres techniques au système. »

 

 

Bluetooth Mesh

« Nous avons créé un réseau sans fil très stable à l’aide d’un Bluetooth Mesh, sans que cela nécessite un câblage ou du matériel supplémentaire. Nous avons uniquement besoin de l’application Opple Smart. Cette application vous permet de créer et de configurer un projet très facilement. Le client final pourra ensuite ajouter toutes les fonctionnalités souhaitées. »

Cette solution était une évidence pour Cebeo également. « L’installateur nous a laissé carte blanche pour concevoir une magnifique solution d’éclairage », explique Geert Wouters, spécialiste externe en éclairage chez Cebeo. « Nous n’avons pas hésité à proposer une solution Technolux Smart. Dans ce cas, il s’agit donc du système Smart Lighting d’Opple. Cette solution a tout à fait trouvé sa place dans notre propre marque Technolux. »

Geert wouter, extern lichtspecialist en installateur

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