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Le contrôle de vos flux d’air est essentiel dans la ventilation

Nick De Landsheer, Business Unit Manager Ventilation Mécanique chez Renson

L’amélioration de la qualité de l’air dans les bâtiments commence par une surveillance. Les résultats d’un compteur de CO2 peuvent donner la première impulsion pour passer à l’action. Beaucoup d’administrateurs de bâtiments en sont déjà là. Ensuite, cela revient surtout à s’arrêter sur la ventilation. Suffit-il d’ouvrir les fenêtres ? « C’est mieux que de ne rien faire mais en fait, vous voulez contrôler les flux d’air. Vous évitez ainsi non seulement l’excès de ventilation mais également le passage d’air vicié d’une pièce à l’autre, » explique Nick De Landsheer, Business Unit Manager Ventilation Mécanique chez Renson. « Avec le Healthconnector, le contrôle est optimal grâce aux valves intelligentes qui ajustent activement le niveau de ventilation sur la base de mesures concrètes. »

 

Lorsque nous examinons l’assortiment de Renson pour la ventilation, nous ne pouvons pas passer à côté de la Healthbox. « La Healthbox 3.0 de Renson est propose de manière standard comme un kit chez Cebeo, » explique Nick De Landsheer. « La Healthbox commandée à la demande évacue l’air vicié au moyen de valves qui réagissent au CO2, au VOC (odeurs) ou à l’humidité. Étant donné que dans les applications résidentielles, la composition est généralement toujours la même, à savoir une cuisine, des toilettes et une salle de bains, c’est la configuration standard. »

Cela signifie-t-il que la Healthbox ne convient pas aux bureaux ? « Non, au contraire. Chez Cebeo, vous pouvez tout aussi bien adapter la composition de votre Healthbox à vos besoins spécifiques. Vous devez équiper un immeuble de bureaux avec une cuisine et quatre toilettes ? Dans ce cas, vous prenez quatre valves à odeur et une valve à CO2. Les odeurs de cuisine et des toilettes dans un immeuble de bureaux sont toujours évacuées afin d’éliminer tout risque de contamination dans le système HVAC pour les bureaux eux-mêmes ! »

 

Healthconnector

Si vous voulez aller encore plus loin dans la ventilation à la demande, pensez au Healthconnector. « Contrairement aux valves d’un Healthbox, qui sont commandées par le processeur central, les valves d’un Healthconnector sont ‘intelligentes’ en soi. Ces valves capteurs (d’un plus gros diamètre) sont alimentées en courant, après quoi elles vont rechercher elles-mêmes un équilibre dans le débit, nécessaire à la ventilation d’une pièce, sur la base d’un logiciel et de capteurs IAQ. Les valves s’ouvrent et se ferment proportionnellement afin de trouver un équilibre dans la qualité de l’air que vous voulez atteindre dans une pièce donnée. Et ce, contrairement à des valves « idiotes » qui fonctionnent plutôt selon le principe du ‘tout ou rien’. »

Healthconnector

commandé par l’intermédiaire du MODBUS

« Voici un exemple concret : imaginez une salle de classe que vous aérez naturellement et dont vous évacuez l’air mécaniquement. Selon le volume de votre pièce, une ou plusieurs valves sont raccordées à un canal collectif auquel un ventilateur à pression est lui-même raccordé. Si toutes les valves sont fermées, le ventilateur d’évacuation n’a pas à tourner fort pour atteindre la pression souhaitée (par ex. 150Pa). Si vous ouvrez les valves, sur la base de la qualité de l’air mesurée par les capteurs présents, le ventilateur augmente automatiquement la pression et le débit. Ce système de ventilation peut parfaitement être utilisé dans des classes, des crèches ou de petits bureaux. »

 

« L’une des nouveautés est que le Healthconnector peut désormais être commandé par l’intermédiaire du MODBUS. »

 

Maître – esclave

« S’il faut ventiler une pièce vraiment plus grande, où une seule ouverture d’un diamètre de 200mm ne suffit pas, vous pouvez raccorder jusqu’à 7 valves, auquel cas une valve servira de maître et les autres seront des esclaves. »

L’une des nouveautés est que le Healthconnector peut désormais être commandé par l’intermédiaire du MODBUS. Ainsi, un installateur peut exercer une surveillance centralisée sur les valves et ignorer ces dernières au moyen du système de gestion du bâtiment. « Imaginez que vous vouliez fermer toutes les valves en cas d’incendie ou que vous vouliez aérer une bonne fois tout le bâtiment après des vacances scolaires. »

 

Voilà jusqu’ici les possibilités pour les systèmes d’aération naturelle et d’évacuation à la demande. « D’autre part, vous pouvez aussi convertir de plus gros systèmes WTW afin qu’ils fonctionnent à la demande, » déclare Nick De Landsheer. « Pour ce faire, vous devez placer la valve maîtresse sur l’évacuation et la valve esclave sur l’arrivée d’air. La valve maîtresse intelligente s’ouvre dès que des gens entrent dans une pièce et produisent donc du CO2. Pour maintenir l’équilibre, la valve esclave que vous placez sur l’arrivée d’air réintroduira l’air évacué. L’avantage, c’est que la ventilation fonctionne sur le système de récupération de chaleur et lorsque la pièce n’est pas utilisée, le fonctionnement s’arrête. Ainsi, vous pouvez rendre de plus gros systems D moins gourmands en énergie. »

Decentrale waves

Si vous ne choisissez pas un Healthbox, le « Waves » offre une bonne alternative aux ventilateurs classiques, y compris dans des applications tertiaires. « Pensez par exemple à des toilettes qui se trouvent à l’écart. Contrairement aux ventilateurs classiques pour salles de bains, qui ne font que déplacer l’air mais qui ont peu d’accumulation de pression, le Waves peut également offrir un débit jusqu’à 80 Pa de contre-pression. De plus, l’installation est très simple. »

« Nous remarquons que le débat est ouvert depuis la Covid et l’application de la ventilation est certainement destinée à évoluer. La première étape pour vraiment agir sur la qualité de l’air consiste généralement à utiliser un compteur de CO2 pour voir noir sur blanc ce qu’il en est de la qualité de l’air intérieur. A l’heure actuelle, la stratégie se limite ensuite encore à de nombreux endroits à ouvrir les fenêtres. Il peut en découler un excès de ventilation qui améliore pour le moins le confort. Est-ce que cela vaut mieux que de ne rien faire ?

Renson ventilation

Oui, mais vous risquez de simplement déplacer l’air d’une classe à l’autre (à l’école), ce qui n’est évidemment pas souhaitable. Le contrôle de vos flux d’air dans tout le bâtiment et une perte minimale d’énergie sont importants et vous ne pouvez l’obtenir, en matière de ventilation, qu’avec une commande à la demande active, » conclut Nick De Landsheer.

 


 

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