Panduit et Cebeo vous aident dans la transition vers la nouvelle norme

Usines du futur, « bâtiments intelligents », maisons intelligentes, etc. : autant de termes qui sont déjà bien intégrés en 2022 et deviendront la « nouvelle norme » à l’avenir. Tout cela semble fantastique, mais requiert bien sûr des équipements d’utilité publique adaptés, comme un câblage de données spécifique. Les installateurs font donc face à un défi de taille. « Cela n’a aucun sens d’attendre le prochain train. La transition est déjà en marche », indiquent Steven Gossye (Cebeo), Karel Verplaetsen (Panduit) et Erik Adriaenssens (Panduit).

Un chiffre d’affaires de près d’un milliard de dollars, plus de 5 000 collaborateurs et un savoir-faire à toute épreuve : chez Panduit, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils s’y connaissent. Avec l’avènement du connecteur RJ45, la multinationale fondée en 1955 était en 1993 déjà à la base de l’évolution actuelle.

« Les installateurs feraient bien de passer sans tarder du métier d’électricien traditionnel à celui d’installateur spécialisé en câblage datacom. »

Karel Verplaetsen, Technical Systems Engineer chez Panduit

Des laboratoires spécialisés

« Aux quatre coins du monde, nos produits et services sont plébiscités par une multitude de grands centres de données », explique Erik Adriaenssens, Territory Account Manager chez Panduit. « 90 % des entreprises du Fortune 500 font partie de nos clients. Avec 18 laboratoires ultra-sophistiqués (tels que le Fibre Lab, les laboratoires de câblage en cuivre et de gestion de câbles...) nous disposons d’une immense expertise dans les domaines les plus divers. Nous travaillons également en étroite collaboration avec Cisco pour la création de solutions de « bout-en-bout » et entretenons un partenariat stratégique avec Rockwell pour l’intégration d’Internet et de ses protocoles dans des environnements industriels. Tout cela nous permet de nous positionner en tant qu’acteur de premier plan pour tout ce qui touche aux bâtiments intelligents. »

Les « bâtiments intelligents » sont une notion vaste. « Les premiers pas en la matière ont été franchis il y a environ un quart de siècle déjà, avec l’introduction de la VoIP (voice over IP) », précise Karel Verplaetsen, Technical Systems Engineer chez Panduit. « Depuis, une multitude de technologies sont venues l’enrichir, façonnant la tendance actuelle où tout - ou presque - passe par l’IP. À l’époque, la téléphonie IP a essuyé les plâtres, mais depuis, le besoin de faire fonctionner toutes les techniques via Ethernet n’a cessé de s’accentuer.

Le PoE, ou Power over Ethernet, est un facteur très présent à ce niveau. « De plus en plus d’appareils sont alimentés par le câble de données (jusqu’à 70W). Il est notamment question des applications audiovisuelles, de l’éclairage, du chauffage, etc. La commande de l’éclairage LED via un câble datacom, permettant de réaliser des économies d’énergies maximales en dotant les luminaires de capteurs, en est un bon exemple. »

Erik Adriaenssens,
Territory Account Manager chez Panduit

« Un câblage structuré est fondamental »

Réduction du CO₂

Ce qui semble peut-être idéal pour beaucoup ne va en réalité pas de soi. « Un câblage structuré est une condition sine qua non », souligne plusieurs fois Karel Verplaetsen, à juste titre. « En effet, tout repose sur celui-ci. Et pourtant, bon nombre de gens sous-estiment encore cet aspect. Et à tort, car il y a beaucoup de choses à prendre en compte : combien de câbles allez-vous dissimuler, comment comptez-vous assembler les faisceaux de câbles, comment allez-vous gérer le tout, qu’en est-il de la densité, comment pouvons-nous contribuer à une réduction des émissions de CO₂ à l’aide de constructions de câbles, etc. »

La conception du câblage pour la communication de données est essentielle, car elle doit répondre à quelque chose de plus important encore et par où tout commence : une analyse des besoins du client final clairement délimitée.

« Aujourd’hui, les fonctionnalités et possibilités disponibles sont légion, mais vous devez dans un premier temps vous assurer que tout reste gérable, fonctionnel et donc utile », poursuit Karel Verplaetsen. « Qu’est-ce qui est primordial pour le client final ? Quelles sont les priorités ? À quel point la solution doit-elle être évolutive ? Quelles options sont appréciables, mais pas vraiment nécessaires ? On peut aller très loin avec ces questions, mais il est inutile d’exagérer. »

 

Impact de la pandémie

Par ailleurs, vous devez également tenir compte de l’avenir. « Le câblage structuré doit donc offrir un maximum de flexibilité et déjà anticiper les éventuelles évolutions futures ou installations supplémentaires. Après tout, le datacom deviendra incontournable. Certains bâtiments à Bruxelles sont déjà entièrement équipés de câblages de données, du sol au plafond. La transition n’est pas imminente, elle bat déjà son plein. Les cahiers des charges actuels, qui prescrivent de plus en plus souvent un câblage de données adapté aux besoins actuels et futurs, en sont la preuve la plus flagrante. La pandémie de Corona a probablement accéléré la mise en œuvre de cette technologie d’environ cinq ans. C’est pourquoi bon nombre d’installateurs feraient bien de passer sans tarder du métier d’électricien traditionnel à celui d’installateur spécialisé en câblage datacom. »

Celles et ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sont entre de bonnes mains chez Panduit et Cebeo. « Nos spécialistes datacom suivent régulièrement des formations chez Panduit, afin de pouvoir transmettre ces connaissances aux installateurs » explique Steven Gossye, Project Development Manager Data and Telecom chez Cebeo.

« Nous pouvons fournir le soutien nécessaire à chaque étape d’un projet. Cela commence par la traduction de l’analyse des besoins en une conception précise, se poursuit par la rédaction des cahiers des charges et des listes de matériel, et se termine par la mise en œuvre à proprement parler », indique Erik Adriaenssens.

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