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Un héros sur les toits

Tout le monde n’est pas fait pour les grandes hauteurs. Et encore moins lorsqu’il s’agit d’y mettre son expertise professionnelle en pratique. Mais Steve Mertens, un client de Cebeo, le fait tous les jours. Et il se fait un plaisir de partager l’histoire inspirante qu’il vit en haut des toits avec tous ceux et celles qui préfèrent rester sur la terre ferme. 

Steve Mertens, ravi de faire votre connaissance !

Signalé le matin, réparé le soir ! Telle est la devise choc d’AirTecnica, une entreprise située à Blankenberge. Steve Mertens, son propriétaire, a l’ensemble de la côte belge pour terrain de jeu. Fort de plus de 14 ans d’expérience sur les toits, ses connaissances sont telles qu’il peut entendre depuis le boulevard si un ventilateur de toit ne fonctionne pas correctement.

Avec le bruit de la houle et le cri des mouettes pour fond sonore, nous nous entretenons avec le technicien Steve. Il se trouve sur le toit d’un vaste complexe d’appartements à Knokke, profitant de ce qu’il qualifie de « vue imprenable. » À côté de lui se trouve toute une rangée de vieux ventilateurs de toit. En bas, dans la rue, sont entreposés autant de nouveaux ventilateurs de toit ComfoRoof MX de la marque Zehnder, prêts à être hissés et installés.

Comment êtes-vous entré dans le monde de la ventilation ?

« Auparavant, je travaillais avec un partenaire dans une entreprise d’installation où nous nous attelions principalement à la pose de produits électro et de ventilation dans les immeubles d’habitation, ainsi que de pompes à chaleur. La maintenance et le remplacement ne représentaient qu’une infime partie de nos activités. J’ai emmené avec moi cette spécialisation et l’ai mise au service de ma propre entreprise. J’ai toujours d’excellents contacts avec mon ancien collègue. Nous nous appelons régulièrement et nous nous soutenons mutuellement. C’est très agréable de pouvoir compter sur un bon concullègue. »

Qu’avez-vous pensé de la collaboration avec Cebeo ?

« Je suis surtout à la recherche de partenaires fiables. J’entretiens une collaboration avec les collaborateurs de Cebeo Bruges. Francky Ryckx, le responsable de filiale, est une personne sur laquelle je peux vraiment compter. Lorsque l’on me signale qu’un moteur fait du bruit, j’essaie de le remplacer le jour même. Francky me permet de la faire grâce au stock important dont dispose sa filiale. Je saute dans ma camionnette, emporte le matériel nécessaire que l’on a déjà préparé pour moi, me rends chez le client, remplace le moteur et c’est fait. Ma devise est « un appel le matin, et c’est réparé le soir. » Et à ce titre, cette collaboration offre à n’en pas douter une grande valeur ajoutée ! »

Pourquoi préférez-vous travailler avec Zehnder ?

« La côte belge abonde de buildings, et lorsque j’ai commencé à exercer ce métier, plus de 90 % des ventilateurs de toit installés étaient de la marque J.E. StorkAir. À mes débuts, j’ai remplacé plusieurs VDA et j’ai toujours entretenu d’excellents contacts avec le personnel de J.E. StorkAir, qui deviendra plus tard Zehnder. Lorsque le VDA a tiré sa révérence, je me suis tourné vers le MX. La transition s’est déroulée sans problème, car les dimensions correspondent parfaitement. Je pouvais garder les acrotères en place. Avec une autre marque, on rencontre d’emblée des soucis à ce niveau, le ventilateur n’a pas la bonne dimension et il faut remplacer à la fois le ventilateur et l’acrotère. Cela représente alors des coûts importants pour le propriétaire du bâtiment. Zehnder propose un produit de qualité que je valide non pas à 100 %, mais à 200 %. »

« À l’instar de Cebeo, je sais que je peux compter sur le personnel de Zehnder. C’est agréable de pouvoir compter sur mes partenaires. On rencontre parfois des soucis, bien sûr. Cela arrive partout. Tout est question de savoir comment les résoudre ensemble. Dans le cas d’un problème technique, nous le résolvons ensemble. C’est inestimable. » 

Avez-vous déjà du faire face à quelque chose d’inhabituel sur un toit ?

« On voit bien sûr toutes sortes de choses depuis un toit. Les gens n’ont pas conscience que quelqu’un peut les observer depuis tout là-haut. Mais sans rire, on n’est pas si mal sur un toit. Généralement, ce sont les aspects techniques qui m’épatent. Un jour, je suis par exemple tombé sur toute une série de moteurs récemment installés qui étaient tous mal raccordés. Ces ventilateurs de toit n’avaient pas encore fonctionné une seule seconde. Cela témoignait clairement d’un manque de compréhension de l’installateur. Rien d’étonnant donc que les plaintes des résidents ne cessaient d’affluer. »

Comment voyez-vous l’avenir ?

« J’entrevois de nombreuses opportunités pour le secteur industriel. Je crois en outre en l’expérience et la spécialisation. L’expérience s’acquiert évidemment au fil des ans, mais la spécialisation est un choix. Je vois de nombreux jeunes installateurs se lancer dans le même secteur. Je trouve cela dommage, car on s’y connaît alors un peu sur beaucoup de choses, mais toujours de manière superficielle. J’ai moi-même travaillé pendant quelque temps en Scandinavie où j’ai acquis des connaissances approfondies me permettant de me spécialiser. Je vois la spécialisation comme une force, car elle permet d’approfondir nos connaissances sur le sujet. Du haut de mes 52 ans, j’ose désormais me qualifier de spécialiste. Lorsqu’un gestionnaire de bâtiments m’appelle pour me décrire les plaintes qu’il reçoit, je sais d’emblée ce qui se passe. C’est à un point que lorsque je me promène avec ma femme sur le boulevard, je peux entendre lorsqu’un ventilateur de toit ne fonctionne pas correctement. Je lui dis alors en riant : « il y a du business à se faire ici. »